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jeudi 1 juin 2017

Pamphlet contre un vampire, de Sophie Jomain





Titre : Pamphlet contre un vampire
Auteur : Sophie Jomain
Date de sortie : 16 mars 2017
Thèmes : Fantastique, Humour, Amour, Jeunesse 
Prix : 8€95 Format Broché 
Maison d’édition : l'atelier Mosésu 
Note : 4/10

Résumé :

S’il y a bien un truc qui m’agace, ce sont les romans à l’eau de rose sauce vampire. Mais qu’ont-elles, à la fin, ces amoureuses de Dracula d’opérette ? Ça ne tourne pas rond chez elles, et ça commence à bien faire ! Il est grand temps de rétablir la vérité : les vampires n’existent pas.

Comment ça, « et s’ils existent ? » ? Eh bien, s’ils existent, je m’occuperai de leur refaire le portrait, ça changera ! J’ai l’intention de jeter un pamphlet sur mon blog, un pamphlet contre les vampires. Et si, par le plus grand des hasards, un certain Hugo Rivoire, un garçon aussi mignon qu’effrayant, décide de me faire fermer mon clapet, il trouvera à qui parler ! Parfaitement ! Même si mon petit doigt me dit que je risque de le regretter…»

Mon avis :

Ce roman traînait depuis deux ans dans ma wish-list sans jamais que je me décide à l'acheter. En février, une amie m'annonce qu'il sera réédité chez L'atelier Mosésu, une bonne nouvelle pour moi qui l'ai finalement eu en service presse par eux. 

Avant de vous en dire plus sur le roman, je dois avouer connaître très bien la griffe de l'auteur. En effet, j'ai découvert la plume très bluffante de Sophie Jomain lorsque j'ai lu sa série Felicity Atcock, une héroïne du tonnerre que j'adore. Sachant déjà qu'elle avait un don pour l'écriture, j'ai lu l'an passé "Quand la nuit devient jour" qui fut un énorme coup de coeur et une prise de conscience sur l'euthanasie assistée.

Maintenant, passons à Pamphlet contre un vampire et à son héroïne. 
Satine Müller, 17 ans, est une adolescente au caractère très fort et très prononcé. En vacances chez son père avec une jambe blessée, la jeune fille s'ennuie à mourir. Ne sachant pas comment s'occuper, elle a la brillante idée de partir à la chasse aux vampires mais en version virtuelle. Elle, une anti-vampires, elle qui ne supporte pas que toutes ses camarades de classe soient autant absorbées par cette tendance des mecs à crocs. N'en pouvant plus de voir sa meilleure amie et les autres filles devenir obsédées par les vampires, elle décide de faire d'une pierre deux coup : palier à l'ennui et faire un électrochoc dans la vie de son amie et des autres en écrivant un article peu flatteur sur les vampires. C'est ainsi que naît Pamphlet contre les vampires.

Sauf que Satine ne s'attend pas à ce que son article devienne viral et lu par tous ses camarades de classe qui ne font qu'en parler lors de sa rentrée. Toutefois, la rançon de la gloire fait qu'il y a quatre élèves qui n'apprécient pas le "Pamphlet". Max, Félix, Urbain et Hugo semblent cacher de troublants secrets. Pourquoi est-ce que l'article leur déplait tant ? Qui sont-ils en réalité ? Et si les vampires existaient ?

Un roman qui se lit facilement mais qui pour moi malheureusement reste proche du célèbre Twilight sur certains détails. J'ai toutefois retrouvé la plume entraînante, propulsante et très réaliste de Sophie Jomain, même si pour le coup ce livre ne fera pas partie de mes préférés de l'auteur.

Pourtant, les personnages avaient de quoi me plaire. Par exemple Satine, jeune fille bornée qui ne se laisse pas manipuler et suit toujours sa première intuition, j'ai bien aimé la suivre dans ses folles aventures, et elle va en vivre ! 
Ce que je trouve dommage, c'est qu'en apprenant la vérité sur les vampires, elle avale vite la couleuvre. D'accord, je me doutais bien qu'elle n'en resterait pas à faire les yeux doux à Hugo, mais je trouve qu'elle se laisse trop vite amadouer par lui et par ses crocs. 
Non pas que je sois contre leur relation, ils étaient plutôt mignons tous les deux, surtout dans leurs chamailleries. Mais j'avoue avoir quand même été décontenancée par ses réactions opposées à l'image que j'avais d'elle au début du roman. Elle passe trop vite le dossier "crocs" à mon goût !

Du côté de Hugo, je le trouve assez bien travaillé. Ok, je me faisais dans ma tête un mauvais remake de lui en Edward Cullen lorsqu'il prenait la parole, il n'a pas réussi à me faire rêver comme je m'y attendais mais je me suis quand même prise de sympathie pour ce grand gaillard aux longues dents.

Pour ce qui est des personnages secondaires, j'ai aussi apprécié Carla, la pièce maîtresse de la création de Pamphlet car oui, si elle n'avait pas eu une telle adoration pour les vampires, jamais Satine ne se serait lancée dans l'écriture de l'article déclencheur. Carla est aussi un atout pour Satine, elle est là avec elle prête à affronter tous les problèmes qu'elles rencontreront, et elles en auront ! Une amitié sincère qui surmontera beaucoup d'épreuves.

En bref,

Malgré des personnages assez attachants, Pamphlet contre un vampire n'est pas une belle réussite pour moi. Je n'ai pas eu la petite étincelle que j'ai d'ordinaire avec les héros de Sophie. Dommage pour moi, je ne resterai pas sur un échec et lirai d'autres de ses écrits volontiers.

Merci aux éditions L'atelier Mosésu pour ce service presse.

#Clarisse

mardi 18 avril 2017

L'amante d'Étretat, de Stanislas Petrosky




Titre : L'amante d'Étretat
Auteur : Stanislas Petrosky
Date de parution : 27 février 2016
Thèmes : Thriller, Deuil, Amour 
Prix : 8€ Format Broché
Maison d'édition : L'atelier Mosésu
Note : 9/10


Résumé :

Isabelle et Frédéric vivent une des plus belles histoires d’amour qui soit, passionnée et fusionnelle. Mais un jour où Frédéric part s’adonner à sa passion, la planche à voile, il disparaît corps et bien en mer. Isabelle va doucement mais sûrement sombrer dans la folie sans l’homme qu’elle aime.

Stanislas Petrosky nous entraîne dans les méandres de la dépression. Jusqu’où le manque de l’être aimé peut-il mener ?

Mais l’auteur venant du monde du polar, il se pourrait que L’Amante d’Étretat ne soit pas qu’une simple histoire d’amour tragique.


Mon avis :


Tout commence le 6 mai 1990 alors qu’Isabelle Dargelin n'a que 10 ans. Ce jour symbolique est celui où sa tante lui offre son journal intime et dès lors, cet objet sera son exutoire. N'ayant pas une enfance des plus angéliques, Isabelle doit grandir avec un père alcoolique, violent et  une mère ou plutôt le souffre-douleur de son cher époux. 

C'est via le biais de son journal, dans un premier temps, que j'ai suivi la vie très chaotique d'Isabelle. De son adolescence à sa rencontre avec Frédéric, son âme sœur, puis jusqu'à l'inévitable.

Dès lors, Isabelle vit une descente aux enfers due à la perte d'un être cher. Elle sombre dans une folie, où son esprit et son corps deviennent ses pires ennemis. J'ai été spectatrice de son malheur. 

La plume de Stanislas Petrosky n'est pas inconnue pour moi. En effet, l'an passé j'avais lu un tout autre roman de l'auteur « Ravensbrück mon amour ». Peu emballée par le sujet en lui-même, j'avais toutefois décelé le talent de l'écrivain qui se cachait ce roman dur. 
Lorsqu’une amie m'a convaincue de lire « L’Amante d'Étretat », je ne me doutais pas un instant que ce livre tellement court pourrait me prendre aux tripes. L'auteur a su me plonger dans cette atmosphère sombre. Il a su traiter avec justesse les thèmes de la dépression et du deuil. 
Je fus très étonnée par la fin. Stanislas a su ménager l'effet de surprise et j'en suis restée sans voix. Car avec le dernier chapitre, les dernières pages m'ont livré une toute autre vision d'Isabelle, ce personnage qui paraissait si fragile. 

Un roman court que je recommande à un public peu frileux.

Merci aux éditions L'atelier Mosésu pour ce service presse. 

#Clarisse

mardi 7 février 2017

Pas de deux, de Sophie Aubard





Titre : Pas de deux 
Auteur : Sophie Aubard
Date de sortie : 19 janvier 2017
Thèmes : Deuil, Tristesse, Thriller
Prix : 8€95 Format Broché
Maison d’édition : L'atelier Mosésu 
Note : 8/10

Résumé :



Saint-Barth le 24 décembre 1997.

Un voyage de rêve qui vire au cauchemar. Un accident rarissime, collision d une automobile et d un avion. 
Sur les quatre occupants de la voiture deux ont trouvé la mort. 

Comment peut-on survivre après un tel drame ? 
Manon et Solyne tentent de trouver les réponses et surtout reprendre le cours normal de leurs vies. 
Sophie Aubard nous offre un roman sur l'Amour, celui qui guérit tout, détruit tout, transporte et qui rend fou.

Mon avis :

Tout commence par un drame épique qui frappa une famille des plus banales le 24 décembre 1997. Dès lors, rien ne sera plus  pareil pour les membres survivants.

Et c'est bien des années plus tard que nous retrouvons Manon et Solyne, les jumelles rescapées de l'accident qui leur a arraché leurs parents.

Après cette déchirure, les deux soeurs essayent de vivre, de reconstruire, de penser à elles en restant soudées malgré leurs deux caractères définitivement opposés.
Si Manon est extravertie, souriante et avenante, Solyne est renfermée, stricte et fuyante.

Il n'y a clairement que leur physique qu'elles ont en commun, enfin c'est que je croyais...


Je ne connaissais pas du tout la griffe de l'auteur, c'est d'abord une amie qui m'a parlé de ce roman qui était à l'époque une future sortie de chez L'atelier Mosésu.
Vu qu'elle connaît assez bien mes goûts, je me suis penchée de plus près sur "Pas de deux".
Le résumé n'avait rien d'extraordinaire, plutôt très mystérieux, je me demandais ce que contenait ce livre qui, avec sa couverture dans les tons froids, promettait d'être étonnant.

Ma première impression était la bonne. Toutefois, au début de ma lecture, j'ai eu un peu de mal à m'attacher aux deux protagonistes principaux, aussi différentes soient-elles, les filles ont à leur façon géré la perte de leurs parents.
J'ai mis du temps à les cerner, je me suis petit à petit attachée à elles et j'ai apprécié de suivre la suite de leur histoire qui se conclut d'une manière ahurissante. 

Pour les personnages secondaires, Naël et Wandrille sont des personnages clés qui auront une place importante dans le final du roman. 
Par contre, qu'est-ce que je n'ai pas pu aimer la voisine des filles, Mme Chaville ! Cette vieille pie fouineuse ne pourrait pas se mêler de sa vie de grand-mère au lieu de les épier ? Vous l'avez compris, elle m'a insupporté.

Pour la fin, comme je le disais, je me doutais que depuis le début il manquait une pièce du puzzle, je sentais qu'il y aurait des rebondissements mais pas une aussi grosse révélation !

Bravo à l'auteur qui a su me duper dès le départ pour me laisser un peu sur les dents. La fameuse révélation est trop vite expédiée, plus de développement ne l'aurait pas gâchée, au contraire.

En conclusion,

Ce roman est une bonne découverte qui malgré quelques fausses notes m'a convaincue de lire d'autres écrits de l'auteur.

Merci aux éditions Mosésu pour ce service presse.

#C

vendredi 3 février 2017

Le vampire de Belgrade, de Vuk Kovasevic

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Titre : Le vampire de Belgrade
Auteur : Vuk Kovasevic
Date de sortie : 12 janvier 2016
Thèmes : Guerre,Fantastique,Vampires
Prix : 10 € Format Broché
Maison d’édition : L’atelier Mosésu
Note : 9/10


Résumé :


Vous y croyez, aux vampires ? Non, probablement pas. Il y a encore quelques années, je pensais dur comme fer que ces saletés n’existaient pas. Jusqu’à ce que j’en croise un. Et puis un autre… Les rues de Belgrade, ravagées par la guerre, sont devenues le théâtre d’un nouveau combat. Une guerre souterraine, larvée. Un règlement de compte entre Echappés de l’Enfer. Les vampires ne sont pas invincibles : on m’a enseigné les méthodes radicales et je les applique. Ils sont immortels… mais j’ai tout mon temps. 
Parce que, comme le dit la chanson des Cailloux,  » Crime is on my side  »

Mon avis :


Que dire à part que ce roman est un excellent antidépresseur qui m’a fait frissonner et rigoler en même temps.

Vuk est un militaire serbe qui adore son métier. Flinguer des mecs à tire-larigot est son exutoire personnel dans cette guerre qui n’en finit pas. Psychopathe et déterminé à bien faire son travail, c’est lors d’une de ses patrouilles avec son collègue le plus fidèle qu’il fait la rencontre d’un monstre.

Dès lors, sa vision du monde se fait plus claire : les vampires sont parmi nous, ils nous observent et se nourrissent de nos jugulaires à nos dépends. Sauf qu’ils viennent de tomber sur un os, un gros os qui va les traquer sans relâche : vous allez assister à la naissance d’un nouveau chasseur de vampires.

Très très loin de mes styles de lecture habituels, ce roman m’a été conseillé par une amie qui a des goûts assez électriques ! Elle m’a dit essaye, tu vas adorer ! J’ai suivi son conseil et j’ai pas adoré, j’ai surkiffé et j’en redemande !

Ce livre est une vraie bombe d’humour noir assaisonnée de giclées de sang, avec pour toile de fond la guerre et des bêtes à crocs prêtes à vous vider la grosse artère. Ne pensez pas faire une simple petite balade de santé dans les rues de Belgrade, oh non vous allez trancher et déglinguer quelque vieux tas d’os au travers des yeux du héros.

Un héros taré à souhait avec lequel je ne savais jamais à quoi m’attendre… Tuer est son péché mignon et je dois dire qu’il sait se faire plaisir en toutes circonstances. L’auteur a su lui donner de l’authenticité avec ses répliques vulgaires, dénuées de sentiments et ses pulsions meurtrières. Tout en exprimant sa créativité et son talent dans cet univers particulier.

Mon seul point noir ici, c’est que j’espère qu’il y aura une suite car ce n’est pas humain de nous laisser avec ce mini avant-goût pour ne pas nous sortir un second tome dans l’année 2017. 
Ce n’est pas une demande, plutôt une exigence !

Merci aux éditions Mosésu pour ce service presse. 

#Clarisse 

mercredi 1 février 2017

Ravensbrück mon amour, de Stanislas Petrosky

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Titre : Ravensbrück mon amour
Auteur : Stanislas Petrosky
Date de sortie : 9 mars 2015
Thèmes :  Guerre, déportés, SS
Prix : 18€ Format Broché 
Maison d’édition : L’atelier de Mosésu 
Note : 4/10

Résumé :


Gunther, jeune artiste allemand enrôlé de force au moment de la construction du camp de Ravensbrück, en devient l illustrateur officiel, obligé de mettre son talent de dessinateur au service des autorités nazies Rien n échappe au crayon affûté du jeune homme : l’horreur des camps, les expériences médicales, les kommandos, les moeurs des officiers, la vie, la mort. Dans ce roman noir, Stanislas Petrosky pénètre au coeur de Ravensbrück et en décrit implacablement chaque recoin, afin de ne jamais oublier.


Mon avis :


Le roman se situe au beau milieu de la seconde guerre mondiale, Hitler est au pouvoir et les nazis, tout comme leur chef, n’ont aucune limite.
Nous rencontrons Gunther Frazentich, un jeune homme allemand d’une vingtaine d’années condamné à construire un camp de concentration pour femmes : Ravensbrück, dissimulé aux yeux du peuple. De simple constructeur, il devient un kapos (gardien du camp).

Pour se délivrer de tous ces événements, il se plonge en cachette dans le dessin, sa véritable passion. 

Gunther a un sacré coup de crayon et il ne s’imagine pas un instant à quelles horreurs il va assister à cause de son talent.

Ce roman est hyper sombre, loin de mon domaine habituel, j’ai attendu plus de 9 mois avant de le sortir de ma pile à lire. Poussée par une amie qui l’avait adoré, je me suis décidée à le commencer.

L’écriture de l’auteur est perturbante, loin d’être désastreuse, je me suis tout de suite imaginée à la place du protagoniste. J’avais l’horrible impression de vivre dans le camp de concentration, d’être aux premières loges de toutes les atrocités perpétuées pendant ces années de souffrance.

Les actes de barbaries qui ont illustrés cette période sinistre sont tellement réaliste que je me suis arrêtée à la moitié de ma lecture, non pas parce que je n’aimais pas la plume de l’auteur, mais parce que je ne supportais pas les rappels que m’offrait ce livre sur des reportages vus pendant mes années de lycée.
Merci aux éditions L ‘Atelier de Mosésu  pour ce service presse.

#Clarisse

lundi 30 janvier 2017

Manhattan Carnage, de Orcus Morrigan

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Titre : Manhattan Carnage
Auteur : Orcus Morrigan
Date de sortie : 1 mai 2014
Thèmes : Zombie, Horreur, Humour noir, Sexe
Prix : 9€90 Format Broché
Maison d’édition : l’Atelier Mosésu
Note : 7,5/10
 
Résumé : 

Où étiez-vous le matin du 11 septembre 2001, quand le premier Boeing a embrassé la Tour Nord du World Trade Center ?
Moi, je me souviens très bien. J’étais dans la Tour. Même que j’y suis mort.
Jusqu’à ce qu’on me ressuscite, quelques jours plus tard, pour une drôle de mission punitive. J’en connais certains en haut lieu qui ont du mouron à se faire…
Ne croyez pas tout ce qu’on vous raconte : les zombies existent, nous sommes parmi vous, nous avons soif de vengeance.
Et vu le nombre de salopards sur Terre, on a du pain sur la planche.
It’s slaughter time ! 

Mon avis : 

Orcus est un zombie qui est mort le 11 septembre 2011 dans l’une des tours du World Trade Center. Durant sa vie, Orcus était un homme fauché, seul et complètement psychopathe. La Recrue parfaite pour le mal, Satan Belzébuth, ou comme il s’est présenté à Orcus, Wilson !!! 

Dans sa vie humaine, c’était un beau gaillard qui se shootait aux médocs et qui ne se rappelait même plus comment il en était arrivé là. Son rôle en tant que zombie est de récolter des points pour le mal et pour cela, il doit tuer des personnes importantes. Bien sûr, il existe toute une armée surentraînée par le Vatican qui fait tout pour déjouer ses plans.

Des émotions fortes garanties, avis aux amateurs de boyaux sanguinolents, d’orbites purulentes et autres magnifiques os décharnés. 

Welcome dans le monde d’Orcus Morrigan, zombie puissant et intelligent, ce qui est plus rare. Il vous entraîne dans sa chasse aux points entre trahisons et coups bas. Il faut avoir le cœur bien accroché et du second degré à revendre.
Entre humour noir, vulgarité, sexe et sang, un livre qui vous en fait voir de toutes les couleurs et surtout du rouge !! 

Pourtant, on continue à tourner les pages et à être happé par son histoire car c’est lui qui nous la raconte et on se prend d’affection pour ce zombie…
Bon, peut-être pas d’affection, faut pas exagérer ! 

#Cyndi