vendredi 3 février 2017

Y’a comme un lézard, de Kathy Dorl

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Titre : Y’a comme un lézard
Auteur :  Kathy Dorl
Date de sortie : 2 juin 2016
Thèmes : Humour, environnement
Prix : 14€45 Format Broché
Maison d’édition : Hélène Jacob
Note : 6,5/10


Résumé :


Mila, jeune femme surdouée et dotée de compétences hors du commun, travaille pour l’Agence Spatiale Européenne.
Ses passions : la protection animale et la défense de l’environnement.
Sa faiblesse : son isolement social provoquant sa perte de contrôle sur les événements.
Mila, Faustine, « Boss », Hadrian et Maxime sont les attachants héros de Y’a comme un lézard, le sixième livre de Kathy Dorl – avec la participation de Marc Escayrol –, qui brasse de nombreux sujets chauds bouillants sans se donner de grands airs.
Entre secrets, trahisons, obstacles, une épreuve, plus terrible encore, s’annonce.


Mon avis :


De nouveaux personnages pour un autre genre de roman basé cette fois sur la science et l’environnement et qui dévoile une nouvelle facette de la plume de Kathy Dorl, aidée de son collègue Marc Escayrol.

Là j’ai suivi la vie de  Mila, 30 ans, scientifique au sein de l’agence spatiale européenne. Elle possède un QI très impressionnant qui lui octroie des capacités extraordinaires, et contient en elle une âme d’écologiste due à sa dévotion pour la défense des droits des animaux et de la faune.

J’ai mis du temps à la comprendre et à voir en quoi consistaient ses recherches. Je ne me suis pas de suite attachée à elle avec beaucoup d’engouement comme ça a été le cas avec les autres personnages principaux qu’a créés l’auteur. Et pourtant, ce bout de femme est une tornade révolutionnaire à elle seule, ses idées et sa logique m’ont fait comprendre qu’il n’y a pas de petit geste pour améliorer nos conditions de vie. 

Dans tous ces actes de bien, il y a évidemment une personne qui n’a pas les mêmes idéologies. Je réponds sans réfléchir Faustine, l’assistante de Mila : stratégique, perverse et abjecte, elle ne faiblit devant aucun obstacle pour obtenir ce qu’elle veut. Je ne peux pas la voir en peinture.

Pour les personnages secondaires, tous ont une place bien définie qui dans l’ensemble fonctionne bien. C’est lent mais j’ai perçu le message de l’auteur via eux, la Terre est en souffrance, il faut arrêter d’être égoïste et prendre soin d’elle.
Avec une couverture qui détonne de l’ordinaire, ce roman n’est pas le meilleur que j’ai eu la chance de lire de l’auteur. J’ai déjà dévoré quatre de ses œuvres l’année dernière, dont sa trilogie comprenant : « Ce que Femme veut », « Fifty-Fifty » et « Le cœur des femmes bat plus vite » qui fut un beau coup de ♥.
Dans ce roman, Kathy Dorl met en lumière des thèmes peu utilisés et pourtant hyper médiatisés : l’écologie et la protection des animaux. Elle y garde les fondamentaux qui font de chacun de ses ouvrages un succès : l’humour et l’amitié.

Néanmoins, je me retrouve vite dépassée par des termes scientifiques bien trop incompréhensibles pour moi. Des longueurs trop grandes nous submergent vers le milieu, ce qui ne m’était encore jamais arrivé avec Kathy Dorl, voilà ma petite note de déception.

Je considère tout de même ce roman d’assez bon, mais pas à la hauteur des facultés de l’auteur, comme quoi y’a comme un lézard !

Merci à l’auteur pour ce service presse.

#Clarisse

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