Titre : Brothers
Auteur : Sylvie Allouche
Date de sortie : 9 mars 2017
Thèmes : suspense, policier, jeunesse
Prix : 14€95 Format Broché
Maison d’édition : Syros collection
Note : 8/10
Résumé :
5 heures du matin. Un terrain vague recouvert de neige. Le coffre d'une Jaguar grand ouvert et dedans, un homme ligoté, au bord de la mort. Debout devant le coffre, atterrés, Ben et Bruno, les frangins sans histoires de la Cité des Fleurs.
Ils étaient censés ramener la voiture de luxe à un trafiquant, une mission soi-disant tranquille. Face à cet imprévu, ils doivent improviser : prévenir la police ou s'enfuir.
À moins que Juliette, une fille que Bruno vient juste de rencontrer, ne puisse les aider ...
Auteur : Sylvie Allouche
Date de sortie : 9 mars 2017
Thèmes : suspense, policier, jeunesse
Prix : 14€95 Format Broché
Maison d’édition : Syros collection
Note : 8/10
Résumé :
5 heures du matin. Un terrain vague recouvert de neige. Le coffre d'une Jaguar grand ouvert et dedans, un homme ligoté, au bord de la mort. Debout devant le coffre, atterrés, Ben et Bruno, les frangins sans histoires de la Cité des Fleurs.
Ils étaient censés ramener la voiture de luxe à un trafiquant, une mission soi-disant tranquille. Face à cet imprévu, ils doivent improviser : prévenir la police ou s'enfuir.
À moins que Juliette, une fille que Bruno vient juste de rencontrer, ne puisse les aider ...
Mon avis :
Ben et Bruno Verrand, des frères jumeaux, veulent offrir à leur mère et à eux-mêmes une vie facile sans aucun manque d'argent loin de la cité des Fleurs, leur banlieue actuelle.
Ce sont deux lycéens à l’apparence lisse qui promettent de livrer une voiture de luxe au Caïd du quartier en échange d'une belle rémunération.
Hors, rien ne se déroule comme les garçons l'avaient prévu. Après un coup loupé, le destin semblait pourtant leur venir en aide en leur apportant presque cette sublime Jaguar sur un plateau d’argent. Sauf que derrière les sièges en cuir de cette merveille automobile, dans le coffre, se cache un homme sur le point de rendre son dernier souffle.
Ce sont deux lycéens à l’apparence lisse qui promettent de livrer une voiture de luxe au Caïd du quartier en échange d'une belle rémunération.
Hors, rien ne se déroule comme les garçons l'avaient prévu. Après un coup loupé, le destin semblait pourtant leur venir en aide en leur apportant presque cette sublime Jaguar sur un plateau d’argent. Sauf que derrière les sièges en cuir de cette merveille automobile, dans le coffre, se cache un homme sur le point de rendre son dernier souffle.
Que lui est-il arrivé ? Et si les garçons étaient accusés ? Et que signifie les lettes LR sur le torse de la victime ?
C'est ainsi que les deux apprentis voleurs finissent face à un cruel dilemme qui pourrait bien causer leur perte.
Brothers a des allures de vieux polar télévisé dont, une fois que l'on commence à le lire, on ne peut en décrocher sans avoir eu le fin mot de l'intrigue.
Je trouve que Sylvie Allouche a su garder le rythme affolant qu'elle instaure dès le début. On arrive dès la première page dans la vie très controversée des deux fils Verrand, ce que j’ai beaucoup apprécié. Je ne les connaissais pas encore plus que ce que le résumé m'avait dit sur eux, et pourtant ce duo fraternel me promettait de vivre un vol de grande envergure rocambolesque. J'ai été ravie que l'intrigue ne perde pas de sa tension jusqu'aux révélations finales.
Ensuite, ce que j'ai apprécié plutôt moyennement, c’est la narration des chapitres. En faisant parler tous les personnages du roman, cela nous offre différents points de vue sur l'affaire centrale et d’autres faits qui en découlent, cela leur permet de s'infiltrer doucement dans l'histoire. Je pense que l'auteur a bien fait de ne pas s'en tenir qu'aux protagonistes principaux, elle a fait le bon choix en donnant la parole à ceux moins importants.
Pour ce qui est de la découpe des chapitres, j'ai trouvé ça bien qu'ils soient très petits (les plus longs font 5 pages), ça permet au lecteur de faire des pauses s'il le souhaite sans être perdu lors de sa reprise du roman. Le côté cité, avec le grand mafieux qui la gouverne et le langage qui est souvent employé, est bien exprimé, j'ai cru être au milieu des bâtiments lorsque les personnages s’y trouvaient et croisaient des malfrats sans aucun scrupule avec des armes sur eux. J'étais en immersion complète dans le monde qu'a créé l'auteur.
En bref,
Un roman qui se laisse lire, il ne fait pas plus de 230 pages et est découpé en petits chapitres, ce qui rend la lecture plus abordable. Je ne dirais pas qu'il est le polar de l'année mais si vous voulez un roman policier qui vous sort de votre confort habituel, facilement accessible, je ne peux que vous le recommander.
Merci aux éditions Syros pour ce service presse.
#Clarisse
C'est ainsi que les deux apprentis voleurs finissent face à un cruel dilemme qui pourrait bien causer leur perte.
Brothers a des allures de vieux polar télévisé dont, une fois que l'on commence à le lire, on ne peut en décrocher sans avoir eu le fin mot de l'intrigue.
Je trouve que Sylvie Allouche a su garder le rythme affolant qu'elle instaure dès le début. On arrive dès la première page dans la vie très controversée des deux fils Verrand, ce que j’ai beaucoup apprécié. Je ne les connaissais pas encore plus que ce que le résumé m'avait dit sur eux, et pourtant ce duo fraternel me promettait de vivre un vol de grande envergure rocambolesque. J'ai été ravie que l'intrigue ne perde pas de sa tension jusqu'aux révélations finales.
Ensuite, ce que j'ai apprécié plutôt moyennement, c’est la narration des chapitres. En faisant parler tous les personnages du roman, cela nous offre différents points de vue sur l'affaire centrale et d’autres faits qui en découlent, cela leur permet de s'infiltrer doucement dans l'histoire. Je pense que l'auteur a bien fait de ne pas s'en tenir qu'aux protagonistes principaux, elle a fait le bon choix en donnant la parole à ceux moins importants.
Pour ce qui est de la découpe des chapitres, j'ai trouvé ça bien qu'ils soient très petits (les plus longs font 5 pages), ça permet au lecteur de faire des pauses s'il le souhaite sans être perdu lors de sa reprise du roman. Le côté cité, avec le grand mafieux qui la gouverne et le langage qui est souvent employé, est bien exprimé, j'ai cru être au milieu des bâtiments lorsque les personnages s’y trouvaient et croisaient des malfrats sans aucun scrupule avec des armes sur eux. J'étais en immersion complète dans le monde qu'a créé l'auteur.
En bref,
Un roman qui se laisse lire, il ne fait pas plus de 230 pages et est découpé en petits chapitres, ce qui rend la lecture plus abordable. Je ne dirais pas qu'il est le polar de l'année mais si vous voulez un roman policier qui vous sort de votre confort habituel, facilement accessible, je ne peux que vous le recommander.
Merci aux éditions Syros pour ce service presse.
#Clarisse
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire