Titre :
C'est toi le chat
Auteur : Laura Trompette
Date de sortie : 27 septembre 2017
Thèmes : Drame, Comédie, Animaux, Thérapie
Prix : 14€90 Format Broché
Maison d’édition : Pygmalion
Note : 10/10
Auteur : Laura Trompette
Date de sortie : 27 septembre 2017
Thèmes : Drame, Comédie, Animaux, Thérapie
Prix : 14€90 Format Broché
Maison d’édition : Pygmalion
Note : 10/10
Résumé
:
Depuis
la mort subite de sa femme trois ans plus tôt, Paul, chef cuisinier,
élève seul sa fille de sept ans. Le quotidien n'est pas toujours
facile et Paul remarque que sa fille souffre encore beaucoup de ce
décès brutal. Lorsqu'il croise un chat abandonné, il décide de
l'offrir à Louise afin d'améliorer son bien-être. L'animal a
également des souffrances à soigner.
Mon
avis :
«
C'est toi le chat » de Laura Trompette est une histoire qui m'a
complètement bouleversé.
J'ai adoré chaque mot, chaque chapitre de ce roman.
J'ai eu du mal à laisser tous les héros de cette pépite lorsque je l'ai refermé tant que je voulais que leurs aventures ne s'arrêtent jamais.
De multiples vies bien distinctes qui n’ont pas connu que de meilleur jours vont entrer en collision pour m'offrir au final un sublime coup de .
Tout d'abord nous avons une boule de poils à la recherche d'un endroit dans lequel trouver de quoi vivre tout en étant en sécurité. Celui-ci s'échoue par hasard sur le devant de la porte d'un vétérinaire qui va le remettre d'aplomb.
De l'autre côté, nous avons Paul, un chef cuisinier. Veuf depuis trois ans, c’est un père courageux qui élève sa fille âgée de sept ans, Louise, victime de harcèlement par ses camarades d'école.
Ne sachant que faire pour rendre le sourire à son enfant, Paul décide d'adopter un chat, c'est ainsi que rentre dans leur vie Harold. Il sera un véritable changement dans leurs vies.
Avant de vous parler des personnages, je tiens à vous dire un mot sur le schéma du roman. Il est narré par deux personnages, Paul et Le poilu. Ce choix de narration est très bien car via ces deux narrations, nous avons des passages plus vibrants, concrets et émouvants. Les émotions ne sont pas bridées, bien au contraire, elles laissent libre cours à leur développement.
Dans cette histoire, j'ai rencontré trois personnages qui m'ont réellement marqué.
Dans un premier temps, Harold. J'ai eu de la peine pour ce poilu (Figora puis Harold) : comment peut-on balancer un animal comme s'il s'agissait d'un kleenex ? Lorsque l'on prend un animal, on sait qu'il y aura des conséquences. Ses premiers maîtres étaient des imbéciles (et j'y vais mollo) de l'avoir abandonné. Heureusement pour lui, la vie s'améliore quand il arrive dans le foyer de Paul et Louise.
J'ai adoré avoir son opinion. Quel esprit vif il a ! Ce poilu est complètement susceptible, snob et narcissique. Je me dis qu'il remplit parfaitement son rôle de chat, car oui, on sait bien qu'ils sont focalisés sur leurs pattes ces félins.
Avec Harold, j'ai rencontré un animal affectueux qui, même s'il se prend pour le roi du quartier et qu'il a fait de ses humains des esclaves, leur apporte beaucoup en échange, surtout à Louise, cette fillette si écorchée par la vie.
Je l'adore ce minet !
Ensuite, pour ce qui est de Paul et Louise, j'ai vraiment trouvé que Paul était un père courageux qui arrive à gérer tous les fronts. Il prend soin de sa fille du mieux qu’il peut depuis le décès de sa femme tout en ayant une vie professionnelle très prenante. C'est un bon papa qui aura le coup de pouce d’Harold pour l'aider à apaiser les peines de sa fille.
Louise, quant à elle, est une petite fille qui est assez renfermée et triste depuis la mort de sa mère, ce qui se comprend tout à fait. De plus, étant victime de moqueries de la part de ses camarades de classe, cela n'arrange rien, ces paroles la font rentrer de plus en plus dans sa bulle. Elle n’arrive à se libérer que quand elle dessine, elle s'exprime avec l'aide de ses crayons. L'arrivée du poilu sera une bonne chose pour cette fillette qui a besoin de plus d'attention. Elle m'a énormément émue, cette gamine que la vie n'épargne pas.
Pour les personnages secondaires, j'ai trouvé qu'ils apportaient sur des moments d'émotion. Ils s'incorporent facilement à la trame principale.
En bref,
Un roman très beau, plein d'émotions qui a su m'émouvoir au plus haut point tant les thèmes qui sont abordés sont très bien exposés et maîtrisés. Laura Trompette ne fait aucune fausse note et m'a offert une histoire qui va me rester longtemps en mémoire.
Merci aux éditions Pygmalion pour ce service presse.
#Clarisse
J'ai adoré chaque mot, chaque chapitre de ce roman.
J'ai eu du mal à laisser tous les héros de cette pépite lorsque je l'ai refermé tant que je voulais que leurs aventures ne s'arrêtent jamais.
De multiples vies bien distinctes qui n’ont pas connu que de meilleur jours vont entrer en collision pour m'offrir au final un sublime coup de .
Tout d'abord nous avons une boule de poils à la recherche d'un endroit dans lequel trouver de quoi vivre tout en étant en sécurité. Celui-ci s'échoue par hasard sur le devant de la porte d'un vétérinaire qui va le remettre d'aplomb.
De l'autre côté, nous avons Paul, un chef cuisinier. Veuf depuis trois ans, c’est un père courageux qui élève sa fille âgée de sept ans, Louise, victime de harcèlement par ses camarades d'école.
Ne sachant que faire pour rendre le sourire à son enfant, Paul décide d'adopter un chat, c'est ainsi que rentre dans leur vie Harold. Il sera un véritable changement dans leurs vies.
Avant de vous parler des personnages, je tiens à vous dire un mot sur le schéma du roman. Il est narré par deux personnages, Paul et Le poilu. Ce choix de narration est très bien car via ces deux narrations, nous avons des passages plus vibrants, concrets et émouvants. Les émotions ne sont pas bridées, bien au contraire, elles laissent libre cours à leur développement.
Dans cette histoire, j'ai rencontré trois personnages qui m'ont réellement marqué.
Dans un premier temps, Harold. J'ai eu de la peine pour ce poilu (Figora puis Harold) : comment peut-on balancer un animal comme s'il s'agissait d'un kleenex ? Lorsque l'on prend un animal, on sait qu'il y aura des conséquences. Ses premiers maîtres étaient des imbéciles (et j'y vais mollo) de l'avoir abandonné. Heureusement pour lui, la vie s'améliore quand il arrive dans le foyer de Paul et Louise.
J'ai adoré avoir son opinion. Quel esprit vif il a ! Ce poilu est complètement susceptible, snob et narcissique. Je me dis qu'il remplit parfaitement son rôle de chat, car oui, on sait bien qu'ils sont focalisés sur leurs pattes ces félins.
Avec Harold, j'ai rencontré un animal affectueux qui, même s'il se prend pour le roi du quartier et qu'il a fait de ses humains des esclaves, leur apporte beaucoup en échange, surtout à Louise, cette fillette si écorchée par la vie.
Je l'adore ce minet !
Ensuite, pour ce qui est de Paul et Louise, j'ai vraiment trouvé que Paul était un père courageux qui arrive à gérer tous les fronts. Il prend soin de sa fille du mieux qu’il peut depuis le décès de sa femme tout en ayant une vie professionnelle très prenante. C'est un bon papa qui aura le coup de pouce d’Harold pour l'aider à apaiser les peines de sa fille.
Louise, quant à elle, est une petite fille qui est assez renfermée et triste depuis la mort de sa mère, ce qui se comprend tout à fait. De plus, étant victime de moqueries de la part de ses camarades de classe, cela n'arrange rien, ces paroles la font rentrer de plus en plus dans sa bulle. Elle n’arrive à se libérer que quand elle dessine, elle s'exprime avec l'aide de ses crayons. L'arrivée du poilu sera une bonne chose pour cette fillette qui a besoin de plus d'attention. Elle m'a énormément émue, cette gamine que la vie n'épargne pas.
Pour les personnages secondaires, j'ai trouvé qu'ils apportaient sur des moments d'émotion. Ils s'incorporent facilement à la trame principale.
En bref,
Un roman très beau, plein d'émotions qui a su m'émouvoir au plus haut point tant les thèmes qui sont abordés sont très bien exposés et maîtrisés. Laura Trompette ne fait aucune fausse note et m'a offert une histoire qui va me rester longtemps en mémoire.
Merci aux éditions Pygmalion pour ce service presse.
#Clarisse
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