Les faux plis de l’amour, de Katherine Heiny
Titre : Les
faux plis de l’amour
Auteur : Katherine
Heiny
Date
de sortie : 7 février 2018
Thèmes : Littérature
étrangère
Prix : 21,90 €
Format Broché
Maison
d’édition : JC Lattès
Note : 3/10
Résumé :
Après quelques années de
mariage auprès d’Elspeth, Graham divorce pour épouser Audra. Les deux femmes
sont tout l’opposé l’une de l’autre.
Aussi, lorsqu’Audra ne se révèle plus aussi parfaite qu’auparavant, Graham se demande si son choix était le bon, finalement.
Au milieu de tout cela : des amis, des sorties, et surtout un fils, Matthew, aussi particulier que ses parents, qui va devoir grandir malgré ses difficultés pour appréhender la vie, la société, les autres.
Un peu à l’image de son entourage, finalement.
Aussi, lorsqu’Audra ne se révèle plus aussi parfaite qu’auparavant, Graham se demande si son choix était le bon, finalement.
Au milieu de tout cela : des amis, des sorties, et surtout un fils, Matthew, aussi particulier que ses parents, qui va devoir grandir malgré ses difficultés pour appréhender la vie, la société, les autres.
Un peu à l’image de son entourage, finalement.
Mon
avis :
Chers lecteurs, chères
lectrices,
Je pense que cette chronique sera sans doute la moins inspirée de toutes celles que j’ai pu rédiger.
Pourquoi donc ? Ma foi…parce que ce livre part vraiment dans tous les sens, et à la fin devient même un récit sans queue ni tête.
Dès les 50 premières pages, j’avais déjà envie de raccrocher, de ne pas poursuivre la lecture, d’abandonner. Mais, comme je suis un peu (trop) têtue, j’ai décidé de rempiler et de continuer, malgré tout.
Je le dis haut et fort (enfin, je l’écris bien en gras), non ce roman n’est pas divinement drôle, hilarant, ou tout ce que j’ai pu lire de la part de la presse et des présentations officielles de ce bouquin.
Les relations amoureuses sont dépeintes comme allant uniquement dans un sens : au départ, la relation ; ensuite, la tromperie ; enfin, la séparation/le divorce.
Il en est de même pour le syndrome d’Asperger, dépeint aussi médiocrement dans ce livre. Et je sais de quoi je parle, j’en suis atteinte (d’ailleurs ils ne précisent pas dans le livre que c’est une forme d’autisme léger).
Enfin bref, on a l’impression que dans Les faux plis de l’amour, tout est unilatéral, qu’on tombe forcément dans une caricature ou un schéma à un moment donné, et surtout qu’on ne pourra jamais s’en sortir et évoluer.
Paradoxalement, alors que le thème du livre était annoncé comme « Graham doit faire le choix de l’amour, de sa vie, entre deux situations », en réalité c’est plutôt la situation qui choisit le personnage principal.
Mot de la fin, donc (je ne vais pas continuer à massacrer mon pauvre article) : un livre (beaucoup) trop long, pas d’humour, des personnages serrés dans des carcans, caricaturaux au possible, et une fin d’histoire incompréhensible, qui laisse le lecteur perdu et non satisfait (mais tant mieux si vous ressentez autre chose que cela !).
Je pense que cette chronique sera sans doute la moins inspirée de toutes celles que j’ai pu rédiger.
Pourquoi donc ? Ma foi…parce que ce livre part vraiment dans tous les sens, et à la fin devient même un récit sans queue ni tête.
Dès les 50 premières pages, j’avais déjà envie de raccrocher, de ne pas poursuivre la lecture, d’abandonner. Mais, comme je suis un peu (trop) têtue, j’ai décidé de rempiler et de continuer, malgré tout.
Je le dis haut et fort (enfin, je l’écris bien en gras), non ce roman n’est pas divinement drôle, hilarant, ou tout ce que j’ai pu lire de la part de la presse et des présentations officielles de ce bouquin.
Les relations amoureuses sont dépeintes comme allant uniquement dans un sens : au départ, la relation ; ensuite, la tromperie ; enfin, la séparation/le divorce.
Il en est de même pour le syndrome d’Asperger, dépeint aussi médiocrement dans ce livre. Et je sais de quoi je parle, j’en suis atteinte (d’ailleurs ils ne précisent pas dans le livre que c’est une forme d’autisme léger).
Enfin bref, on a l’impression que dans Les faux plis de l’amour, tout est unilatéral, qu’on tombe forcément dans une caricature ou un schéma à un moment donné, et surtout qu’on ne pourra jamais s’en sortir et évoluer.
Paradoxalement, alors que le thème du livre était annoncé comme « Graham doit faire le choix de l’amour, de sa vie, entre deux situations », en réalité c’est plutôt la situation qui choisit le personnage principal.
Mot de la fin, donc (je ne vais pas continuer à massacrer mon pauvre article) : un livre (beaucoup) trop long, pas d’humour, des personnages serrés dans des carcans, caricaturaux au possible, et une fin d’histoire incompréhensible, qui laisse le lecteur perdu et non satisfait (mais tant mieux si vous ressentez autre chose que cela !).
Merci beaucoup à la maison
d’édition JC Lattès pour ce service presse !
#Charløtte
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