lundi 30 janvier 2017

Manhattan Carnage, de Orcus Morrigan

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Titre : Manhattan Carnage
Auteur : Orcus Morrigan
Date de sortie : 1 mai 2014
Thèmes : Zombie, Horreur, Humour noir, Sexe
Prix : 9€90 Format Broché
Maison d’édition : l’Atelier Mosésu
Note : 7,5/10
 
Résumé : 

Où étiez-vous le matin du 11 septembre 2001, quand le premier Boeing a embrassé la Tour Nord du World Trade Center ?
Moi, je me souviens très bien. J’étais dans la Tour. Même que j’y suis mort.
Jusqu’à ce qu’on me ressuscite, quelques jours plus tard, pour une drôle de mission punitive. J’en connais certains en haut lieu qui ont du mouron à se faire…
Ne croyez pas tout ce qu’on vous raconte : les zombies existent, nous sommes parmi vous, nous avons soif de vengeance.
Et vu le nombre de salopards sur Terre, on a du pain sur la planche.
It’s slaughter time ! 

Mon avis : 

Orcus est un zombie qui est mort le 11 septembre 2011 dans l’une des tours du World Trade Center. Durant sa vie, Orcus était un homme fauché, seul et complètement psychopathe. La Recrue parfaite pour le mal, Satan Belzébuth, ou comme il s’est présenté à Orcus, Wilson !!! 

Dans sa vie humaine, c’était un beau gaillard qui se shootait aux médocs et qui ne se rappelait même plus comment il en était arrivé là. Son rôle en tant que zombie est de récolter des points pour le mal et pour cela, il doit tuer des personnes importantes. Bien sûr, il existe toute une armée surentraînée par le Vatican qui fait tout pour déjouer ses plans.

Des émotions fortes garanties, avis aux amateurs de boyaux sanguinolents, d’orbites purulentes et autres magnifiques os décharnés. 

Welcome dans le monde d’Orcus Morrigan, zombie puissant et intelligent, ce qui est plus rare. Il vous entraîne dans sa chasse aux points entre trahisons et coups bas. Il faut avoir le cœur bien accroché et du second degré à revendre.
Entre humour noir, vulgarité, sexe et sang, un livre qui vous en fait voir de toutes les couleurs et surtout du rouge !! 

Pourtant, on continue à tourner les pages et à être happé par son histoire car c’est lui qui nous la raconte et on se prend d’affection pour ce zombie…
Bon, peut-être pas d’affection, faut pas exagérer ! 

#Cyndi

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