vendredi 10 novembre 2017

Âmes indociles, de Emma M. Green


Titre : Âmes indociles
Auteur : Emma M. Green
Date de sortie : 19 Octobre 2017
Prix : 14,90 € format broché
Thèmes : Reconstruction sentimentale, drame, passions
Maison d'édition : Addictives
Note : 8/10

Résumé :

Père célibataire, son cœur n'est pas à prendre. Elle ne va pas lui laisser le choix. Styliste perchée et âme écorchée, Calliopé décide de prendre sa vie en main et d'affronter son passé : à 22 ans, la brune révoltée retrouve Willow, l'enfant qu'on l'a forcée à abandonner des années plus tôt. Seul obstacle à leurs retrouvailles : le père adoptif de la petite fille, Lennon Hathaway, bien trop beau pour être vrai, trop riche pour être honnête, trop solitaire pour lui faire une place dans sa vie et trop méfiant pour croire en elle. Et pourtant, dans ses yeux verts, elle jurerait avoir vu une lueur d'humanité. Peut-être même autre chose, un sentiment qu'elle n'espérait plus.

Mon avis :

Nous avions découvert la volubile et excentrique Calliopé dans Cœurs insoumis, et la fin du tome 2 nous avait laissé un peu sur les dents !

Pour rappel des faits, Calli avait appelé son frère Dante alors que lui et sa Tutu d'amour était en road-trip et lui annonçant qu'elle avait « fait une connerie... » FIN !

Âmes indociles reprends exactement là où ça s'est arrêté, mais cette fois nous sommes du côté de la jeune femme, enfermée dans les toilettes d'un bar essayant d'échapper à des hommes beaucoup trop insistants...

Dante et Tutu arrivent à sa rescousse et nous apprenons dans les trois pages qui suivent que notre adorable Calliopé a dû abandonner une petite fille à la naissance lorsqu'elle avait 17 ans, tout ceci orchestré par son père dans le plus grand secret. Calli a découvert où elle était et est bien décidé à la rencontrer !

Elle débarque à Cape Cod sous une fausse identité et le faux prétexte de créer une ligne de vêtements pour enfants et d'avoir besoin de jeunes modèles, et propose au séduisant et lointain Lennon Hathaway, papa de sa petite Willow (5 ans, et le portrait de sa mère!), de prendre l'enfant pour porter ses créations.

Aussi indociles l'une que l'autre, le coup de foudre entre les deux demoiselles est immédiat !

L'imprévu c'est tout de même le papa de Wiwi : Lennon est un sublime et riche homme d'affaires, amoureux des vagues et de la nature, solitaire et le centre du monde sa fille. Ils ne sont que tous les deux et sont indissociables !

Calli va t-elle pouvoir s'intégrer en douceur dans cette petite famille tout en essayant de résister au charme du surfeur et de ravaler les piques que lui inspire la nounou de sa fille ?

Dans ce dernier tome, j'ai senti dés le début qu'il serait différent des autres, plus mélodramatique. Calli y apparaît plus mature que ses 22 ans, prête à tout pour être avec sa fille et ne reculant devant rien.

Ses débuts à Cape Cod mettent du temps à faire avancer l'histoire, c'était un peu au ralenti. Je n'ai pas ressenti la même empathie pour Lennon que j'avais immédiatement eu pour Finn et Dante dans les tomes précédents. Effectivement c'est un personnage assez discret et solitaire, sans excentricité. Calli va beaucoup l'aider à se dévoiler et amener un peu de piquant dans sa vie bien rangée !

J'ai eu un gros coup de cœur pour la petite Willow !
Elle tient une place indétrônable dans le cœur de ses parents.
Son caractère de chipie en fait une enfant hyper attachante, sans filtres et qui prends tout très à cœur. Elle et son Poney (non, ce n'en ai pas un) forment un duo explosif !

J'ai donc mis un peu plus de temps à lire et à démarrer le livre car je ne retrouvais pas la Calliopé de Cœurs insoumis. Mais l'histoire avance et nous plonge également dans ses sombres souvenirs d'adolescente, on a le cœur qui saigne pour elle et nous comprenons tout ce qu'elle a dû garder bien enfouie...

Bien sur on connait Emma M. Green, il y a toujours des obstacles à surmonter avant le grand happy-end et ce n'est pas Calli et Lennon qui vous dirons le contraire ! Le final est grandiose, j'en avais les larmes aux yeux.

Je remercie Addictives pour ce service presse.

#Aurélie

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